Quelle pepite ! Avec Wonder Woman nous nous reveillons dans un mode post apocalyptique et partons à la découverte de ce qui s'est passé. Le scenario est incroyable avec de très bon twist et les dessins nous plonges dans ce future cauchemardesque où il va falloir survivre malgré tout
Une oeuvre phénoménale. Le graphisme est ahurissant de maîtrise et colle à l'histoire comme s'il faisait partie de l'intrigue. Le scénario est tout aussi bluffant. On en veux encore. Quand confira t-on une saga à ce type ?!
Attention mega uppercut que ce comics !! Sorti dans le black label grand format ; récit hors continuité. Dans un monde post-apocalyptique ravagé et habité par des monstres , un groupe de survivants en quête de nourriture tombent dans une grotte et réveillent diana, autrefois connue comme Wonder Woman. Que s’est il passé ? Que faisait la princesse amazone ici ? Pourra t’elle sauver tout le monde ? Daniel Warren Johnson signe en 4 chapitres de 44 pages une œuvre incroyable ; ici pas de princesse sexy, on retrouve la guerrière prête à tout pour sauver les hommes ; princesse messianique et aimante elle va affronter des hordes de monstres tout en essayant de comprendre ce qui s’est passé. Le récit alterne énormes bastons gores , moments de tendresse et d’émotion intimistes et réflexions sur l’engagement , la foi , et le sacrifice. Le graphisme de Daniel Warren Johnson est époustouflant de dynamisme et sous des pourtours agressifs plein de précision. Son trait fonctionne d’ailleurs autant pour les defouraillages jubilatoires, que les folies visuelles, que les moments intimistes. La narration m’a bluffé car ça a l’air mega bourrin en feuilletant et c’est en réalité beaucoup plus fin . Daniel Warren Johnson se paye en plus le luxe de nous claquer des grosses surprises et retournements de situation régulièrement dans le tome. Un pur chef d’œuvre que je conseillerais a tout le monde à minima de découvrir. Et moi ben je pense que je suis parti pour continuer à fouiller la bibliographie de DWJ 🥰
L’un des meilleurs comics que j’ai pu lire ! Le Top de mes lectures de 2020 https://youtu.be/cg-4Jy8WAn0
Une icône DC rarement poussé aussi loin dans ses retranchements. C'est le genre de comics que l'on aimerait bien voir un peu plus souvent sur les editions big two! Tout simplement violent, noir et épique !
Diana se réveille sans pouvoir dans un monde détruit. Le grand feu et la grande guerre ont ravagé la Terre et décimé la majorité de ses habitants il y a deux générations de cela. Les humains doivent lutter au quotidien contre des monstres mutants et chercher des rations dans les ruines pour espérer survivre... Dans un style beaucoup plus brute que ces précédentes œuvres, Daniel Warren Johnson dépeint ici par un graphisme plus gras et prononcé la violence des Hommes. La violence face à l'inconnu, face à l'adversité, pour la survie... L'action est toujours époustouflante avec de grosses batailles et des perspectives folles, on ne s'en lasse pas. Chapitre après chapitre, le récit nous guide à travers de nombreux combats: physiques et psychologiques. En effet Diana, dernière super-héroïne sur Terre, sera confrontée à de nombreuses questions allant de la responsabilité, à l'interventionnisme des superheros de l'ancien temps. Jusqu'à quel point sont ils en droit de régler les affaires humaines? Quelle est leur place dans la société? Peut on leur faire confiance? Doit-elle intervenir? Méritent-ils seulement?... Encore une petite claque dans la gueule. Je comprends l'engouement autour de ce comics. Même si on commence a être habitués au style monstrueux de DWJ, il arrive à se renouveler avec un style beaucoup plus trash ici, et un bestiaire encore varié. Après on adhère ou pas, le trait plus épais ne me choque pas, il est en accord avec la violence globale de l'univers dépeint ici. Et sur le développement super-hero, on n'a pas de débauche de pouvoir (ce qui assez rare pour être souligné) et c'est très intéressant d'avoir une véritable introspection du personnage principal. Que serait le monde si l'humanité était au bord de l'extinction? Quelle serait la place d'une héroïne qui apparemment n'a pas su le sauver précédemment?... Superbe et magistral. Il me tarde de voir ce qu'il fera avec Beta Ray Bill.
Qu'elle bonne idée encore une fois ce Black Label. Laisser une bonne liberté aux auteurs avec des personnages de premiers plans, ça donne des pépites. J'avoue que la couverture m'a intrigué, et bien que loin du mainstream, les dessins sont superbes. Mais plus que les dessins, c'est le scénario, qui met une Wonder Woman semi amnésique au pied du mur : qui est elle au fond, quelles sont ses convictions les plus profondes ? A lire
Dessin 20/20. Couleur 20/20. Personnages 20/20. Histoire 20/20. Rien à dire on tient la une des meilleures histoires de Wonder woman et un chef d œuvre de la bd.
Wonder Woman Dead Earth… J’avais mis de côté ce comics à cause d’un dessin qui ne me plaisais pas mais, au final c’est un très bon récit post-apocalyptique . Un récit qui nous montre la folie humaine. Un récit où nos héros sont morts … On y rencontre Diana se réveillant dans un monde complètement détruit et ne se souvenant plus de ce qui s’est passé. Va suivre une quête pour essayer de sauver le peu d’humanité qui reste sur Terre et comprendre ce qui s’est passé. On est sur une BD plutôt violente, on veut du post-apocalyptique et c’est que l’on a, c’est parfois gore, le sang gicle… Au final, je trouve le dessin plutôt réussit voir grandiose sur certaines planches. Après coup je comprend pourquoi j’ai changé d’avis, c’est l’auteur du génialisime Murder Falcon ! L’histoire prend aux tripes, j’ai même eu les larmes aux yeux quand l’héroïne essaie de trouver Superman. En récit hors continuité mais qui nous rappelle l’importance des héros de l’univers DC grâce à quelques références et clins d’œil parsemé dans l’ouvrage. Une très bonne surprise ! A lire !
Wonder Woman se réveille, amnésique, dans un monde post-apocalyptique où des créatures étranges et monstrueuses attaquent le peu d'humains encore en vie. Tout en aidant les hommes qu'elle va croiser, Wonder Woman part à la recherche de son passé... Le dessin nous plonge dans toute la d’échéance de ce monde ou le récit est hyper fluide et file à toute vitesse. Pas le temps de s’ennuyer ! Les scènes d'action sont rythmées même si par moments deux ou trois cases de plus n’auraient (à notre avis) pas été de trop. Nous avons passé un super moment de lecture pleine de surprises et de rebondissements. (Retrouver nos lectures sur notre compte Insta : bdapresbd)
J'adore Daniel Warren Johnson. Comme d'habitude, au vu du pitch on se dit que ça va être un truc de gros bourrin complètement décérébré et en fait pas du tout. C'est même hyper sensible. Mais avec des gros monstres vraiment dégueulasses. Ce type est un génie. Et son dessin est juste incroyable. Meilleure Diana depuis très longtemps.
Encore une petite pépite de Daniel Warren Johnson. On se retrouve avec une ambiance proche d'extremity : monde post apocalyptique, humanité cruel et survivaliste, kaïjus. Mais cette fois-ci avec le personnage de Wonder Woman qui se réveille moitié amnésique d'une sarcophage cryogénique. Comme pour extremity cala va parler d'humanité, de pardon, de rédemption... La mise en page et les compositions sont toujours dingues. La qualité du dessin peut être un peu en dessous comme si le trait était un peu plus pressé. Mais cela reste magnifique. Les couleurs, toujours assuré par le coloriste Mike Spicer, parfaites. Et comme l'histoire est un pneu shot hors continuité c'est à la fois un must have pour les puristes ou les néophytes.
Très bon one-shot qui offre une vision bien sombre (black label oblige) du futur et donne une place au premier plan a wonder woman. L'histoire est simple, quelques rebondissements accompagnent un scénario plutôt tourné sur l'action. DWJ rends hommage à la force réelle de wonder woman. Un comics frais pour cette fin d'année qui fera un super cadeau de Noël aussi bien pour les fans de l'héroïne que pour ceux qui souhaite lire un comics bourrin sans connaitre forcement tout les ressort du DC univers. Tout le monde y trouvera son compte, je recommande vivement !
une vision brutale , violente et sombre de l'univers de l'amazone tout en gardant l'humanité du personnage. une nouvelle réussite du talentueux Daniel Warren Johnson
Le concept n'est pas nouveau, en soi. Mais il est très bien manié, et l'ensemble se lit avec beaucoup de plaisir.
