Attention mega uppercut que ce comics !! Sorti dans le black label grand format ; récit hors continuité. Dans un monde post-apocalyptique ravagé et habité par des monstres , un groupe de survivants en quête de nourriture tombent dans une grotte et réveillent diana, autrefois connue comme Wonder Woman. Que s’est il passé ? Que faisait la princesse amazone ici ? Pourra t’elle sauver tout le monde ? Daniel Warren Johnson signe en 4 chapitres de 44 pages une œuvre incroyable ; ici pas de princesse sexy, on retrouve la guerrière prête à tout pour sauver les hommes ; princesse messianique et aimante elle va affronter des hordes de monstres tout en essayant de comprendre ce qui s’est passé. Le récit alterne énormes bastons gores , moments de tendresse et d’émotion intimistes et réflexions sur l’engagement , la foi , et le sacrifice. Le graphisme de Daniel Warren Johnson est époustouflant de dynamisme et sous des pourtours agressifs plein de précision. Son trait fonctionne d’ailleurs autant pour les defouraillages jubilatoires, que les folies visuelles, que les moments intimistes. La narration m’a bluffé car ça a l’air mega bourrin en feuilletant et c’est en réalité beaucoup plus fin . Daniel Warren Johnson se paye en plus le luxe de nous claquer des grosses surprises et retournements de situation régulièrement dans le tome. Un pur chef d’œuvre que je conseillerais a tout le monde à minima de découvrir. Et moi ben je pense que je suis parti pour continuer à fouiller la bibliographie de DWJ 🥰
