6 chapitres nommés « déviation » qui racontent l’arrivée de Lee dans le department of truth et son ascension. Comme toujours dans cette série , on baigne dans une ambiance politico-paranoiaco-complotiste baignée de fantastique, de références à l’histoire et aux mythes américains. Au graphisme , il n’y a pas Simmonds sur ce tome mais 6 artistes invités avec des styles variés ; ça fonctionne plutôt bien compte tenu de la teneur des récits Vraiment une série différente et troublante qui pose beaucoup de questions sur la vérité, la réalité, les croyances…
Me concernant, c'est le tome purge de la série.. Une horreur à lire. Il est resté 10 mois sur ma table de nuit... Je me suis endormi un nombre incalculable de fois devant et me suis fait violence pour le terminer... Le changement de dessinateur incessant (qui sont à des années lumières du style torturé et intelligemment décousu de Simmonds) doit y être en grande partie responsable.
Plusieurs récits pour en apprendre plus sur la création du département de la vérité et de l'histoire au fil du temps.
