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Avis des lecteurs de l'album:
2.5(6 avis)

La libération du récit originel permet comme prévu aux auteurs de délirer sur ces cinq princesses qui reprennent les ficelles de David Chauvel sur l’anthologie Sept. Ne nous le cachons pas, Robilar vise le grand public ce qui limite un peu un esprit Fluide glacial par trop punk que laissait pourtant présager la très jolie couverture. Une fois passées les grimaces, les bouffons et la course de carrosse introductive plutôt drôles, on déroule des épreuves cliché (une déco de chambre par-ci, un gâteau par-là) destinées à utiliser les mécaniques du rire en décalage. Le soucis c’est que contraint par ces enchaînements répétés des cinq princesses le rythme effréné se casse un peu et on enchaîne alors les pages avec des gags attendus. Le comique de répétition c’est risqué… [...] Lire la suite sur le blog: https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/02/03/robilar-ou-le-maistre-chat-2-...

👍
Profil de Tchim
30 janv. 2021
9782413020035

Suite un peu décevante en comparaison du 1er tome.

👍
Profil de B-A
achat vérifié
28 janv. 2021
9782413020035

Quelle déception!! Après un premier tome prometteur, dans la veine (à un degré moindre, certes) de l'excellent Garulfo, ce second tome nous donne quelque peu l'impression de s'être perdu en route... on croyait poursuivre l'histoire là où on l'avait laissée mais que nenni! L'album propose d'entrée de jeu une ellipse temporelle destinée à servir un scénario qui pourrait presque se passer du premier tome. Surtout, il tient sur un timbre poste! Le cynisme du premier album est vainement recherché mais les traits sont trop gros : les anachronismes (langagiers surtout!) sont usés et abusés, les caricatures des princesses bien trop caricaturales, et le comique de répétition est beaucoup trop répétitif et peu discret pour être drôle... pour un final moralisateur "en apothéose" sous forme de critique grossière de nos sociétés actuelles, pour faire l'apologie du libre-arbitre féminin (bouuuh les vilains machos), de l'acceptation de soi et de l'autre et du vivre-ensemble (sus aux méchants homophobes). Des positions tout à fait louables bien sûr, mais qui n'ont à mon sens rien à faire dans cette fable qui perd son fil conducteur - et par là même le lecteur - pourtant assumé avec brio lors du premier tome. Mais pas facile, visiblement, de se vouloir satirique sans base établie (le premier volume était une évidente référence au chat botté). N'est pas Ayroles qui veut! J'ai rarement fait face à une si grande déconvenue après la lecture d'une suite. Je m'en faisais une joie, et je ne suis désormais plus certain de vouloir lire le prochain... Cantonnez-vous au premier tome, c'est bien suffisant.

👍
Profil de DoVi
07 nov. 2021
9782413020035