Après le choix catastrophique du scénariste Matt Kindt de faire de Livewire une terroriste qui tue des milliers de personnes par ricochet dans Harbinger Wars : Blackout, Vita Ayala fait de son mieux pour sauver les meubles. Au fil des 3 arcs, l’auteurice explore certaines zones grises et dépeint la situation politique anti-psiotique de façon assez vraisemblable. Vita Ayala offre également à Livewire une belle confrontation reposant à la fois sur de l’action et des dialogues forts avec Pan, son ancien·ne coéquipier·e de la fondation Harbinger. Bref, un run plutôt bon en dépit du contexte de départ !