Il faudrait apprendre à terminer une bonne série avant de la rendre inintéressante… Quel dommage… les dessins sont très différents mais collent assez bien à l’univers. Mais mon dieu que l’on arrête avec les va et vient entre le scorpion et mejaï et que l’on passe à autre chose 😩.
Ce treizième volume commence plutôt bien puisque l’excellent Luigi Critone tient haut la main le pari avec une colorisation directe très élégante bien qu’un peu plus terne que celle de son compatriote. Je n’avais pas beaucoup d’inquiétude sur la partie graphique, ayant pu apprécier la qualité des planches d’un Je François Villon ou du récent succès Aldobrando. Les premières planches reprennent en outre la dynamique particulière du Scorpion avec ses contre-plongées hautement cinématographiques dirigées vers l’action. Le nouveau méchant est très charismatique et l’idée d’introduire la Kabbale et le rabbin hérétique Jacob Frank dans l’univers archéologique et religieux du Scorpion est très bonne! Pourtant on peine un peu à s’intéresser à cette histoire aux dialogues compliqués et aux quelques ratés de découpage assez surprenants de la part de deux auteurs chevronnés. Si les scénarii de la série ont toujours été assez linéaires sur un fonds complexe, la puissance graphique de Marini et l’action omniprésente équilibraient des intrigues à tiroir et références historiques pointues. C’était la force de cet équilibre qui a permis d’attraper un très large public. Or on a le sentiment ici que la moitié action a disparu avec Marini et que l’on retombe dans une BD historique à la mode Glénat (époque Triangle secret). Ce n’est pas un défaut en soi mais ce n’est pas l’ADN du scorpion, série de cape et d’épée épique et enlevée par une action et un humour léger. [...] Lire la suite sur le blog: https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/02/26/le-scorpion-13/
Le scénario est toujours bon heureusement, car le dessin est malheureusement beaucoup moins bien fini par Critone. J'aurais pu passer sur l'évolution graphique du personnage principal, un changement de dessinateur apporte toujours quelques évolutions, mais si certaines cases sont très bien réussies et que l'on croirait presque retrouver Marini, des détails comme les cases qui ne sont pas tracées correctement, les bulles qui ne sont pas fermées, trop d'utilisation du flou au point que l'on prendrait certaines cases pour des dessins préparatoires, font perdre beaucoup de qualité à l'ensemble... C'est dommage la série y perd beaucoup. Espérons que c'est un début et que le graphisme s'améliorera pour les prochains tomes.
Le passage à un nouveau dessinateur ne gene en rien la poursuite de la série, on s'y fait vite. Pour le démarrage de ce nouveau cycle c'est le scénario qui pêche, on voit bien la mise en place des nouvelles intrigues mais le rythme est lent. L'histoire des 9 familles est éludé, que sont elles devenues suite au sort des trebaldi? Espérons que le prochain tome soit plus nerveux et n'oublie pas non plus le passé de la série en prenant la tengeante.
Plutôt déçu, je me suis refait toute la série avant et niveau histoire ça n’est pas au niveau. Le dessin change mais on s’y fait vite. Par contre le scénario est mince. La couverture montre le Scorpion en Égypte dans le désert avec un temple en arrière plan. En réalité l’arrivée en Égypte est tardive et pas d’aventures dans le désert ni de temple. J’attends la suite mais là je suis déçu. Il manque le côté épique.
Changement de dessin et d'ambiance. Il faut y tend d'adaptation pour s'en remettre. Mais ce nouveaux graphisme marque d'autant mieux le nouveaux cycle. Et la série en avait bien besoin! Nouvelle quête, nouveaux mystères, nouveaux enemies à moins que ce ne soit des amis?? On se laisse prendre. On notera quand même une certaine paraisse de Desberg au scénar...
Très déçu par le dessin. Pour l histoire le tome ouvre à priori un nouveau cycle ou a minima une nouvelle intrigue .... à suivre donc
Niveau dessin, sans être moche, c'est loin de Marini. Certains découpages de scènes sont loupés. Niveau scénario, le Scorpion s'essoufflait depuis quelques temps. Ce debut de second cycle ne lui donne pas le second souffle attendu. Un tome sans plus...
Excellent dessin... Mais je trouve l’histoire très mal écrite...
Ça change de la version dessinée par Marini mais l’histoire débute bien et est intéressante, les dessins sont différents mais c’est bien et on voit la différence de style, c’est pas une copie et on regarde une case et se dit « pas mal là »
