Le premier chapitre introductif sur Blue Beetle est superbe. Le scénario sur deux temporalités est prenant et les dessins sont de qualité. Beaucoup de personnages apparaissent et le lecteur sent un manque de confiance entre les protagonistes qui découle de Crise d’identité. Le reste du récit sur le projet OMAC est un cran en-dessous, mais la qualité est là. Les dessins sont généralement de bonne facture. L’album est auto-suffisant. Il pourrait se lire tout seul et la conclusion n’oblige pas à lire une suite.
Une intrigue qui nous tien en haleine et de voir nos hero se faire malmené est jouissif