On continue de découvrir les origines (enfin après celle créés par Alan Moore dans Swamp Thing) de notre cher John Constantine. On a ici plusieurs récits plus ou moins indépendants les uns des autres, mais qui constituent un ensemble cohérent. La prose de Jamie Delano reste particulière et le trait un peu vieillot n’aide pas à tout les coups. À lire pour les origines de John, mais pas les meilleures histoires pour ma part.